Samstag, 4. Juli 2015


. HEIMAT

 
 
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Video "ARD-Themenwoche: Meine Heimat Alentejo" - l...
Die Filmemacherin Lourdes Picareta verließ ihre Heimat, die portugiesische Provinz Alentejo, um in Deutschland zu studieren und zu arbeiten. Auf einer sehr persönli...
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LÄNDER MENSCHEN ABENTEUER: ALENTEJO, MEINE HEIMAT

am 4.10.2015 um 15,15 im SWR im Rahmen der ARD Woche HEIMAT 


Was ist das, wenn ein Aroma uns plötzlich in die Zeit unserer Kindheit und Jugend katapultiert? Das ist Heimat. 


Bei mir ist es der Duft der Orangenblüten. 


Portugal - Meine Heimat Alentejo

Ein Film von Lourdes Picareta

Kamera: Jac-Uwe Otto

Ton: Markus Seifried

Schnitt: Ellen Scheider


Meine Reise in meine Heimat Alentejo, wo die Orangenbäume blühen, ist nicht bloß eine Reise in meine Vergangenheit. Es ist ebenfalls eine Reise in die Gegenwart der größten Provinz Portugals, das Alentejo. Ich habe mein Land verlassen, um in Deutschland zu studieren und bin hier "hängen geblieben". 
Aber jemand hat einmal gesagt: 
"Vergiss deine Vergangenheit nicht, blicke dabei in die Zukunft, um so eine starke Gegenwart zu schaffen."







In diesem Sinne beginne ich meine Reise in meinem Dorf, in Santa Iria, wo ein  exquisites Bio - Olivenöl gemacht wird. Die Olivenbäume waren schon 500 Jahre alt, als die Portugiesen im 16. Jahrhundert zu ihren Entdeckungen in der neuen Welt aufbrachen.

Mit diesem Öl bereiten wir "Acorda" zu, eine Koriander-Suppe mit Kabeljau und Eiern, diesmal in einer urigen Kneipe, wo uns das Rezept von Männern an der Bar-Theke vorgesungen wird. 



Diese Männerchöre des Alentejo sind seit November 2014 UNESCO- Kulturerbe und auch sie sind Teil meiner Kindheit - als die Landarbeiter auf dem Weg zur Feldarbeit sangen.
Mit ihnen habe ich die Nelkenrevolution 1974 in Portugal erlebt, die uns die Freiheit nach langjähriger Diktatur zurückgebracht hat.  Alfredo Cunhal Sendim, Neffe eines Großgrundbesitzers - früher der Feind – überrascht mich heute mit seinen Ansichten: "Der Mensch muss im Einklang mit der Natur leben, weg von den Monokulturen und industriellen Produktion, sonst ist er selber zum Tode verurteilt, wenn er nur auf Gewinn setzt."


Überrascht werde ich auch von der 25-jährigen Vera Santos. einer jungen Frau, die Vorarbeiterin der Männer bei der Korkernte ist. Früher undenkbar.  Der Alentejo hat sich verändert, doch immer noch wandern viele aus.




Neu ist, dass manche junge Leute zurückkommen: Joao Silva, ein Wanderbarbier, der von Beja aus in die Dörfer fährt; Pedro Mendes, Küchenchef in einem 5-Sterne-Hotel von Vila Vicosa, der rustikale Spezialitäten des Alentejo wie Eicheln oder das iberische Schwein in Haute Cuisine verwandelt.

 
                                                                               


Meine Reise endet an der schwarzen Felsenküste des Alentejo mit seinen einsamen kilometerlangen Stränden, meinem Urlaubsparadies. Hier treffe ich auf Ute Gerhard, eine Deutsche Pferdehofbesitzerin, die schon so lange in Portugal lebt wie ich in Deutschland. Verschränkte Heimaten.


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INDIEN


zu sehen in: https://www.youtube.com/watch?v=v8cPc99GOCI



Indien - Gewalt im Lande Gandhis | ARTE

www.arte.tv/guide/de/050500-000/indien-gewalt-im-lande-gandhis
15.06.2015 - ... zwei Millionen Mädchen und Frauen, die jährlich in Indien umgebracht werden. Woher kommt diese unermessliche Gewalt im Lande Gandhis?

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Violence au pays de Gandhi | ARTE
Maintenu au mépris de la loi, le système de castes en Inde prospère sur le dos des minorités et des femmes, ses premières victimes. Une enquête glaçante sur les vio...

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    Zu Indien:

    LE MONDE
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    La déroute des Indes
    Lors d’une soirée thématique, « l’Inde, géant aux mille visages », Arte décrypte les réalités d’un pays sclérosé et inégalitaire (mardi 7 juillet à 20 h 55 sur Arte...

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    image: http://s2.lemde.fr/image/2015/07/07/534x0/4673637_3_7b0d_maintenu-au-mepris-de-la-loi-le-systeme-de_dd14aed33cb789af668fbeb83887836b.jpg
    Maintenu au mépris de la loi, le système de castes prospère sur le dos des minorités et des femmes, ses premières victimes. Une enquête glaçante sur les violentes inégalités qui rongent la société indienne.
    Lors d’une soirée thématique, « l’Inde, géant aux mille visages », Arte décrypte les réalités d’un pays sclérosé et inégalitaire (mardi 7 juillet à 20 h 55 sur Arte).
    Amis de l’Inde et de ses sortilèges colorés, de ses déesses à trompe, de ses vieux palaces coloniaux, des romans de E. M. Forster et des films survitaminés et kitsch produits à Bollywood, passez votre chemin : le documentaire de Lourdes Picareta, que diffuse Arte dans le cadre d’une soirée thématique intitulée « L’Inde, géant aux mille visages », vous renverra de manière cinglante à une réalité résumée en quelques mots dès le sommaire du film : « L’Inde, pays de splendeur mais aussi pays d’inégalités : son système est le plus inhumain de la planète. »
    On voit très vite des hommes déféquer dans une rigole d’égout et l’on imagine bien des vaches s’y rafraîchir et des enfants la traverser en s’éclaboussant quelques mètres plus loin. Ceux qui ont l’avantage, assez relatif, de pouvoir déféquer chez eux, dans le coin de la cour, font appel à des femmes dont le rôle, de mère en fille, est d’aller ramasser les déjections de ceux qui les dominent de peu socialement, à quelques dizaines de roupies près : « Installer un WC, explique une habitante d’un quartier pauvre et sans eau courante, reviendrait à débourser ce qu’on gagne en un an ; tandis qu’employer ces femmes pour vidanger les lieux d’aisance revient à 20 centimes de roupies par semaine. »

    Tout est affaire de caste

    On lui demande si cette solution qui lui semble idéale n’est pas de l’exploitation de très pauvres par d’un peu moins pauvres : « Il faut bien qu’elles fassent quelque chose ! » Et de jeter aux pieds des malheureuses les quelques pièces accordées pour ne pas les leur donner de la main à la main.
    Tout est affaire de caste, en ville comme à la campagne. Et si vous êtes un « intouchable », la caste la plus basse de l’échelle du pays, vous ne valez rien. D’ailleurs, dit l’avocat indien Colin Gonsalves, qui défend bénévolement les plus pauvres dans le cadre d’une organisation humanitaire, pour beaucoup d’hommes « une vache vaut davantage qu’une femme ». Ce qui explique le taux élevé de violence conjugale (65 %), dont traite ensuite le documentaire de David Muntaner, Le Pays qui n’aimait pas les femmes (21 h 45), et les nombreux viols et meurtres de femmes « intouchables » par des hommes d’une caste supérieure.
    Shbanam, une adolescente de cette caste, a été droguée, violée et filmée par une bande d’hommes. Elle a eu le courage de porter plainte, elle a refusé l’argent qu’on lui proposait pour retirer sa plainte. Grâce à l’avocat, elle a pu faire mettre sous les verrous deux de ses agresseurs et bénéficie désormais d’une protection policière permanente dans un lieu tenu secret, loin de son village. Mais là-bas certains de siens considèrent encore qu’elle l’a cherché et qu’elle est ni plus ni moins une prostituée. Une femme de sa caste, outrée, décline, le regard mauvais, les motifs de dépravation de la jeune fille : « Elle avait un téléphone portable, elle appelait des gens, et elle allait en ville ! »

    Tribunaux illégaux mais tout-puissants

    L’Inde interdit officiellement la reconnaissance des castes. Mais le système politique du pays – que d’aucuns parmi les témoins interrogés par Lourdes Picareta qualifient de « totalitaire » – les tolère et laisse perpétrer d’affreux crimes, dont certains sont même avalisés par des tribunaux villageois, constitués d’anciens – des hommes exclusivement – et d’une caste supérieure aux « intouchables ». Si un(e) accusé(e) est condamné(e), « il ne peut plus vivre dans le village, venir manger chez nous ou même toucher nos objets », déclare l’un des membres de ces tribunaux illégaux mais tout-puissants. Beaucoup parmi les bannis fuient, quand ils ne se suicident pas.
    Cette violence sociale éclate d’une manière encore plus spectaculaire dans les grandes villes : des immeubles flambant neufs abritent des familles parmi les plus riches du monde. L’une d’entre elles vit dans 37 000 (sic !) mètres carrés, emploie 600 domestiques « intouchables » recrutés directement dans le bidonville sous ses fenêtres, installés là où le chantier de l’immeuble abritait les masures des ouvriers ayant construit le bâtiment. Et payés une misère pour un travail sans jours de congé.
    Lourdes Picareta a rencontré beaucoup d’intellectuels indiens – dont beaucoup de femmes, professeures, chercheuses, journalistes – qui, parfois au péril de leur vie, dénoncent ces faits et attaquent de front l’imagerie d’une Inde à la démographie galopante et à la croissance économique spectaculaire.
    Le documentaire développe également avec beaucoup de sagacité les terribles conflits de religion (entre hindous et musulmans), la malnutrition de quelque 600 millions d’habitants parvenue « à un stade pire que celui de l’Afrique subsaharienne », le pouvoir politique de droite soutenu par des milices « qui voient leur modèle chez Mussolini et Hitler », dit même l’un des témoins.
    Violence au pays de Gandhi et le reste de la soirée d’Arte fournissent décidément de quoi largement revisiter les poncifs béats d’une Inde éternelle et mythifiée, mais en fait sclérosée, inégalitaire et ultraconservatrice.
    Violence au pays de Gandhi, de Lourdes Picareta (All., 2014, 55 min). Mardi 7 juillet à 20 h 55 sur Arte.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2015/07/07/la-deroute-des-indes_4673639_1655027.html#wPYOJ5EBZtAFHWjx.99


















      GEWALT IM LANDE GANDHIS BEI ARTE am 7 Juli 20,15 UHR


      http://www.arte.tv/guide/de/20150707


      ARTE AM 7.7. UM 20:15 -


      Indien - Gewalt im Lande Gandhis
      Der Knall geschah am 16. Dezember 2012 als eine 23-jährige Studentin in Neu-Delhi von sechs Männern in einem fahrenden Bus vergewaltigt und brutal gefoltert wurde. zwei Wochen später erlag sie im Krankenhaus schweren, inneren Verletzungen. Es war wie ein Weckruf, denn diesmal war das Opfer eine Frau aus der Mittelschicht, und es passierte mitten in der zivilisierten Hauptstadt des Landes, in New Delhi. Doch die Studentin aus Delhi war eine von zwei Millionen Mädchen und Frauen, die JÄHRLICH in Indien umgebracht werden.
      Woher kommt diese unermessliche Gewalt im Lande Gandhis?
      Als Ausgangspunkt der ARTE Dokumentation steht die Überzeugung, dass die Gewalt gegen Frauen in Indien letztlich ein Ausdruck der in vielen Bereichen der Gesellschaft vorherrschenden Gewalt ist. Letztlich strukturiert Gewalt ganze Bereiche der indischen Gesellschaft. Man denke nur an das Kastenwesen, die Indifferenz gegenüber den Armen, die Selbstverständlichkeit der Kinderarbeit, die Gewalt gegen religiösen Minderheiten, oder das brachiale Vorgehen von Armee und Polizei bei Protesten, obwohl die Verfassung den Bürgern das Recht dazu garantiert.
      Andererseits – und das ist das Frappierende und nahezu Unfassbare in Indien – handelt es sich um ein Land mit einer äußerst lebendigen und aktiven Zivilgesellschaft, mit einer gebildeten intellektuellen Elite und mit einer kaum überschaubaren Vielfalt von Kulturen, Sprachen, Glaubensbekenntnissen und Ethnien, die dennoch irgendwie zusammenleben.
      Diesem Widerspruch geht der Film nach.
      Der Film schaut hinter der Fassade von "Indien, die größte Demokratie der Welt". Nicht nur die Rechte der Frauen und Armen werden mit Füßen getreten. Auch die größte Minderheit im Lande, die 180 Millionen indischen Muslime – von 1,2 Milliarden Indern- leidet unter der Diskriminierung durch den wachsende Hindu-Nationalismus. Und es kommt immer wieder zu sogenannten „Gewaltexzessen“, die eigentlich nur als Pogrome zu bezeichnen sind.  Der im Mai 2014 gewählte Premierminister Narenda Modi , Hoffnungsträger inländischer und ausländischer Investoren, ist politisch in der Hindu-Natinalistischen Bewegung groß geworden."Indien den Hindus" lautet die Parole, die seitdem enorm an Verbreitung und Einfluss gewonnen hat.
      ARTE befragte Experten aus Politik, Wirtschaft, Religion und Juristen und sprach mit Opfern von Vergewaltigungen und Pogromen . Ein Versuch, mit deren Analysen und Erlebnissen das Phänomen der Gewalt im Lande Gandhis zu ergründen.

      AUCH ICH WAR ÜBER ALL DAS ÜBERRASCHT!

      Montag, 25. November 2013

      Lissabon Stadt des Fado und des Lichtes




      SWR am 18.05.2014 - 21.00
      In Länder Menschen Abenteuer

      LISBOA
      Lissabon Stadt des Fado und des Lichtes

      Cidade do Fado e da Luz
      Ein Film von Lourdes Picareta
      Kamera: Jac-Uwe Otto

      Dreharbeiten zu "Lissabon Stadt des Lichtes" auf der Brücke 25. April





      Lissabon, Portugals „weiße Stadt“ am Atlantik und der Tejo-Mündung
      hat im Laufe der Geschichte viele Blütezeiten erlebt und ebenso viele Krisen bewältigen müssen. Geprägt hat sie vor allem ihr Hafen, der sie im Mittelalter zu einer Drehscheibe des europäischen Handels und zum Ausgangspunkt von Entdeckungen und Eroberungen machte. Vasco da Gama lief in Lissabon zu seiner ersten Indienreise aus und wurde bei seiner Rückkehr 1499 frenetisch bejubelt.

      Und heute? Was macht die portugiesische Hauptstadt so anziehend, dass sie als Lieblingsziel für junge Menschen anderen europäischen Städten den Rang abgelaufen hat?  Das Lächeln und die Leichtigkeit der Portugiesen, vermutet  ein junger Blogger, der, um für eine Imagekampagne seiner Stadt zu fotografieren, den Job in einer Bank hingeworfen hat. Das unvergleichliche Licht von Lissabon, sagt eine Stadthistorikerin, die sich in einem Schutzprogramm für Azulejos, den glasierten, bunten portugiesischen Wandkacheln, engagiert. Die Melancholie, ergänzt eine Sängerin, die für moderne elektronische Musik genauso schwärmt wie für den traditionellen Fado, den sie selbst auf die Bühne bringt. Die Früchte des Atlantiks und die exzellenten Gerichte, die man daraus macht, heißt es aus dem Munde eines sternedekorierten Gourmet-Künstlers; und die gewaltigen Wellen unserer Küste, fügt eine begeisterte Surferin hinzu.
      Regisseurin Lourdes Picareta und ihr Kamerateam haben in Lissabon vor allem junge Menschen aufgesucht und sie nach ihrer Beziehung zu ihrer Stadt befragt. Herausgekommen ist ein dynamisches Porträt einer facettenreichen alten europäischen Metropole.


      Lisbonne/Lissabon
      Cité lumineuse du fado/Stadt des Fado und des Lichts

      Emissao: 06.01.2014, 18.25 Uhr no canal ARTE - Mondes merveilleuses
        
      Lourdes Picareta                                                                               
        Realizadora
      Jac-Uwe Otto 
         Camara
      Christoph Rapp
         Montagem
      Gisela Joao e o amor ao fado

        LISBOA CIDADE DO FADO E DA LUZ
       
          Este documentário insere-se na série HOMENS PAÍSES AVENTURAS do canal ARTE, para o qual fazemos, desde há 30 anos, documentários para todo o mundo e que nos levou muitas vezes nos passos dos nossos antepassados a conhecer o Brasil, Macau, África... O tema LUZ de LISBOA é quase um lugar comum, não muito original, mas é aquilo que toda a gente pensa quando aqui chega: onde vai esta cidade buscar tanta luminosidade? Tentámos responder à interrogação de milhões de pessoas que a visitam, assim, intitulámos o documentário em alemão Lissabon Stadt des Fado und des Lichts e para os espectadores de língua francesa do canal ARTE, Lisbonne Cité lumineuse du fado



      HOMENS PAÍSES AVENTURAS mostra os lugares através de pessoas, protagonistas que têm uma relação especial para com eles e que os caracterizam melhor que mil palavras de realizadores ou jornalistas... A escolha para Lisboa não foi fácil. Perante a beleza da nossa capital, de momento considerada por muitos uma das mais bonitas, senão mesmo a mais bonita cidade da Europa, o mais difícil foi escolher o que deixámos por fazer. Contudo, penso que a nossa escolha foi muito boa, nas pessoas e nos lugares: 

      Sofia Tempero e José Cabral

      SOFIA TEMPERO, uma historiadora apaixonada pelos azulejos de Lisboa, superfícies que reflectem e espalham a luz maravilhosa da cidade por todos os cantos e becos com a sua  quadratura de luz“. Não é só por isso que a Câmara de Lisboa tem um projeto para ajudar a salvar os azulejos e assim manter a beleza da cidade. A Sofia Tempero é uma das apaixonadas representantes?/protagonistas? do projeto PISAL
      JOSÉ CABRAL, O Alfaiate Lisboeta como também é conhecido por muitos, se tivesse vivido décadas atrás chamar-se-ia O CRONISTA DA CIDADE. Hoje chama-se BLOGGER. A sua história é maravilhosa: deixou, nos dias de hoje, um lugar seguro num banco, para captar com uma camara fotográfica a luz de Lisboa reflectida em pessoas, para ele, extraordinárias. Esses registos e as suas ideias envia-os do seu blog para todo o mundo em português, espanhol e, imagine-se , em mandarim. Durante as nossas filmagens José Cabral estava a fazer uma campanha sobre Lisboa, pelo que aproveitámos “a deixa“ e atrevemo-nos a fazer uma campanha original com os nossos protagonistas, reflectindo a cidade. 

      José Avilez e Joana Vasconcelos no Palá
      JOSÉ AVILEZ dá um gostinho especial a tudo isto com o seu sabor magno de “Chef de cuisine“ coroado com duas estrelas Michelin. A vénia do Chef perante a luz de Lisboa consiste em preparar-nos dois pratos leves com toda a sua luminosidade e a levar-nos ainda ao Palácio Nacional da Ajuda a fim de conhecermos Joana Vasconcelos, uma figura que se distinguiu na nossa cultura
      GISELA JOÃO, a fadista que nos deleita com uma voz que faria inveja a Amália, sendo ainda tão jovem!  Gostámos muito de trabalhar com ela nesta fase ainda “virgem e inocente“ anunciando já uma grande estrela. 

      Filipa Prudencio na Ericeira
       FILIPA PRUDÊNCIO, ou o que seria o mar, tão perto de Lisboa, sem uma bela surfista? O nosso “camaraman“ ficou fascinado com ela e com a nossa costa, as suas imagens dizem tudo. Estas palavras que vos resolvemos contar servem apenas para dar algumas orientações ao espectador, uma vez que os comentários originais são em alemão ou francês. Contudo, os protagonistas e as suas palavras são suficientes para reter a nossa cidade, entre o tejo e o mar, no coração de muitos espectadores da Europa Central. 
      Esperemos que gostem de Lisboa cidade feita de Luz e de Fado.







      Donnerstag, 14. November 2013


                                               LÄNDER MENSCHEN ABENTEUER IM SWR
                                                                   DIE MAYA ROUTE

                                             MEXIKO - Sendetermin:  26.01.2014 um 17:15 Uhr
        
      Fátima Tec Pool mit dem Maitre de Cuisine Roberto Solis in einer Sisal Hacienda von Yucatan

      Die Archäologin Fátima Tec Pool zeigt uns ihr Land
                                                                                    

      Die einzige Schule in ganz Mexiko, in der die Kinder Maya Mathematik und Hieroglyphen lernen

      In den Cenotes von Yucatan fanden Wissenschaftler über 14 000 Jahre alte Skelette von Menschen

      In den Cenotes kann man auch schnorcheln - in einer Wunderwelt

      Professor Nikolai Gruber von der Uni Bonn ist weltweit eine der größten Maya Forscher

      Fátima besucht Professor Grube in Uxul, einer Stadt, die er mit seinem Team seit 5 Jahren ausgräbt
      Einer der schönsten Maya Tempel in Mexiko-Yucatan ist UXMAL


      http://www.swr.de/lma/-/id=100886/1sa5kh3/index.html


















      Der erste Film
      Die Maya - Route – MEXIKO (1/3)



      Die Maya,  die Gottkönige des Regenwaldes, haben vieles von ihrer uralten Kultur ins 21. Jahrhundert hinüber gerettet und schaffen sich gleichzeitig Platz in der modernen Gesellschaft. 

      Die Nachkommen der Maya sind eines der wenigen noch lebenden Urvölker Amerikas: Acht Millionen Maya verteilt auf fünf Länder. Unsere Maya - Trilogie führt von Mexiko über Guatemala nach Belize, eine Reise zu den Maya von heute.

      Mexiko

      Eine junge Archäologin, Fátima Tec Pool,ist unsere Gastgeberin auf der faszinierenden Halbinsel Yucatan mit magischen Maya -Tempeln an der Karibik. Maya - Wissenschaftler wie Fátima sind in Mexiko selten. Ganz anders als zu den Zeiten ihrer Vorfahren, die große Gelehrte waren, Mathematiker, Astronomen. Warum das heute anders ist, erfahren wir auf dieser Reise. Wir besuchen die einzige Schule in der ganzen Maya-Welt, in der Kindern die Maya - Schrift, die Hieroglyphen, und die Maya - Mathematik nochbeigebracht werden. „Ein kulturelles Juwel“, sagen die Lehrer.

      Fátima Tec Pool weiht uns in die Geheimnisse der Höhlen Yucatans ein. Im Bauch der Halbinsel hat die Archäologin ihren Arbeitsplatz. Ebenso wie ihre Kollegen, die in die „Cenotes“ – tiefe Wasserhöhlen, hinunter tauchen. Diese glasklaren Seen wurden von den alten Maya als heilige Kultstätten benutzt und verehrt. Yucatan ist durchlöchert wie ein Schweizer Käse. Tausende von Kilometern zieht sich hier das größte Höhlensystem der Welt durch das Karstgestein mit Zugang zur Karibik. Hier haben Fátimas Kollegen so unglaublich alte menschliche Skelette gefunden, dass die Besiedlungsgeschichte von Mesoamerika neu geschrieben werden muss.

      Die Reise mit Fátima Tec Pool bringt uns zu einer Expedition mit einem der weltweit bedeutendsten Maya-Forscher - dem Bonner Professor Nikolai Grube. Wir fühlen uns fast in Humboldts Zeit versetzt: Professor Grube, Fátima Tec Pool und ihr Team, bewaffnet mit Macheten und Motorsägen dringen in den Urwald Yucatans ein, auf der Suche nach einer versunkenen, bisher unbekannten Maya Stadt.

      Wird es ihnen gelingen, die Stadt zu finden?




      Der zweite Film der Trilogie
      Die Maya Route in Länder Menschen Abenteuer spielt in
      GUATEMALA - das Thema: die Religion der heutigen Maya


      Die Maya Route - GUATEMALA
      Die Maya,  die Gottkönige des Regenwaldes, haben vieles von ihrer uralten Kultur ins 21. Jahrhundert hinüber gerettet und schaffen sich gleichzeitig Platz in der modernen Gesellschaft. 
      Die Nachkommen der Maya sind eines der wenigen noch lebenden Urvölker Amerikas: Acht Millionen Maya verteilt auf fünf Länder. Unsere Maya - Trilogie führt von Mexiko über Guatemala nach Belize, eine Reise zu den Maya von heute.

      GUATEMALA
      Guatemala ist heute die Hochburg der Maya-Kultur. Man sieht es auf den ersten Blick, die vielfältigen und farbenfrohen Trachten der Menschen fallen sofort ins Auge. Untereinander können die Maya an ihren Trachten erkennen, zu welcher Volks- oder Sprachgruppe sie gehören. "Allein in Guatemala gibt es 22 Maya-Sprachen", sagt unser Gastgeber und "Reiseführer" Lolmay Garcia. Er muss das wissen: Lolmay Garcia ist Sprachwissenschaftler und hat für seine Studien jedes Dorf seines Landes bereist. Mit ihm entdecken wir eine geheimnisvolle Welt. Die Maya sind im doppelten Sinne die bunte SeeleGuatemalas, denn sie sind auch seine spirituelle Vielfalt.

      Mit Lolmay entdecken wir eine alte Maya-Gottheit, die Whisky, Rum und Marlboros liebt,   sich aber nur in der Nähe des gekreuzigten Jesus wohl fühlt.Wir erleben okkulte Rituale, starke Emotionen und zerfleischende Konflikte während des christlichen Festes der Liebe, zu Ostern. Das alles am Atitlan-See, umgeben von malerischen Vulkanen. Schon Humboldt meinte, es sei der schönste See der Welt.

      Lolmay Garcia bringt uns zu einem Virtuosen, der mit seinen 29 Jahren in Hieroglyphen schreibt und glaubt, die Reinkarnation eines alten Maya-Schreibers zu sein; zu einer"Comadrona", einer jungen Maya-Hebamme, die alte Heilmethoden mit Kräutern in der Geburtshilfe anwendet. 

      Lolmay verführt uns aber auch zu einer Reise in den Urwald an der Karibik , entlang eines Flusses, den man den "Süßen Fluss - Rio Dulce" nennt. Der Anblick von badenden jungen Frauen am Rande des Dschungels erinnert an Bilder des Malers Gaugin. Junge Maya voller Träumen, die in den Himmel wachsen.